dimanche 28 février 2016

Agone - persos

On dira ce qu'on voudra de ce jeu, oui les règles sont chiantes, pires que remplirent une déclaration d'impots. Oui, le monde est trééééééés varié. Mais c'est ce que je trouve sympa justement, entre les différents pays, certes trés ressemblant à d'autre jeu, les races et la magie, il y a vraiment des choses sympas à faire, à jouer, des ambiances possibles trés différentes. Pour ceux qui ont lu Gaborit, et n'ont pas aimé son style (comme moi), il ne faut pas s'arreter à ça, le jeu dépasse et de loin le livre dont il est issue. Enfin, c'est mon avis.

Bref, j'ai décidé de monter une table d'Agone, on y joue pas beaucoup, mais toujours avec plaisir. Pour mes 3 joueurs (Tony, Belette et Jéjé), j'ai décidé de les baser en Urgemand, au sud, près de la frontière avec la République Mercenaire, au service du baron de Bellerocaille. Je leur fait jouer actuellement un scénario : le père des loups.

Les personnages
Armand
Maître d'arme
(Belette)

Armand est le maître d'arme du domaine, en charge d'entrainer les gardes du chateau. Il a une trentaine d'année, et n'a aucune idée d'où il est né. Toute sa vie, il a voyagé, développant ses talents de bretteur, qu'il a souvent monnayé en tant que garde du corps, mercenaire ou maître d'arme.

Baldelierre
Farfadet conjurateur
(perso, dessins et BG de Tony)


À l’origine, je suis un farfadet d’Abyme que tout destinait à embrasser la voie de l’Ombre. Né d’un père conjurateur et d’une mère éleveuse d’abeilles safran servant dans la fabrication de certaines encres, j’avais un destin tout tracé au service des sombres majestés. Très tôt, mon père m’initia à la conjuration qui est devenu comme une seconde nature. Mais ce que j’aimais par-dessus tout, c’était la sculpture, plus encore que les ombres que les gargouilles et statues dessinaient. C’est ce que je découvris en jouant avec la cire des abeilles safran de mère. Et puis il y avait tout un monde de possibilités à allier les ombres et les contours de mes propres statues. Quant à l’architecture de la cité des ombres, dire qu’elle m’inspirait serait un euphémisme. J’étais encore adolescent quand mes parents durent partir d’urgence en Urguemand pour satisfaire à la demande des Hauts Diables. On ne refuse pas un ordre direct émanant des Abysses.

Nous restâmes à Lorgol de longues années, et ce fut un déchirement pour moi. Cependant, lorsque mon père me dit qu’il était temps de regagner Abyme, huit ans plus tard, j’avais tissé des liens profonds avec l’âme de Lorgol et certains de ses habitants. Les lieux plus encore que les gens ont tendance à me toucher. J’avais une affection toute particulière pour les jeux d’ombres des Mille Tours et leurs mystères... J’y passais le plus clair de mon temps dans une semi solitude, avec pour seul véritable ami un étonnant Elwir-Lierre attiré par la sculpture. Ce fut donc un autre déchirement pour notre famille, mais je priai mes parents de repartir à Abyme sans moi. Je rêvais de revoir la troublante cité de mon enfance, mais l’heure n’était pas encore venue. Père me prodigua moult conseils quant à la façon de traiter avec les démons et il m’offrit même quelques précieuses fioles d’encres. Mère me légua un petit nid d’abeilles safran que j’ai conservé dans la tour effilée qui est devenue mon logis au cœur des sinistres Mille Tours.

C’est à cette période que je fis la connaissance de Dame Lithane, une fée noire qui fréquentait l’Étincelle où j’effectuais de tièdes tentatives pour devenir éclipsiste. Je n’avais guère de talent, il faut bien le reconnaître, mais la compagnie des danseurs m’était fort agréable, comme souvent chez les Farfadets. Dame Lithane était la principale d’une lointaine Académie, mais elle était surtout harmoniste de la Cyse. Dans la discrétion, elle me montra ce que je pouvais faire de mes talents de sculpteur.
De Baldelierre le petit conjurateur, je devins bien vite Baldelierre le sculpteur. Les nobles faisaient appel à moi pour décorer leurs manoirs d’une de mes œuvres et certains capitaines me payaient une fortune pour que je donne à leur navire une figure de proue plus vraie que nature. Je faisais encore appel aux démons par habitude, mais je pensais avoir définitivement renoncé à suivre la voie des ombres. Tout se passa bien pendant plusieurs années, puis ma perte vint de la rencontre avec une lutine qui me fit chaviré le cœur, l’âme et tout le reste avec. Je découvris cependant bien vite que c’était la part d’ombre et de douleur en elle qui avait attiré mon affection. Elle était torturée par la pierreuse, cette maladie qui touche les lutins qui s’approchent trop longtemps des villes et de leurs âmes de pierre. Quelle ironie, voilà que j’étais puni par la pierre elle-même !

Brumine était chétive, même pour une toute jeune lutine. Son arbre avait été coupé dans sa prime jeunesse, disait-elle. Elle n’en conservait qu’une tige séchée, pensant qu’une partie de l’âme de son frère de Sève y avait survécu. Mais elle ressentait profondément la perte de son arbre et semblait si perdue que je la pris en pitié. J’avais maintes fois entendu les histoires concernant l’origine de la Pierreuse, aussi, en tant que farfadet, me sentais-je un peu responsable de son triste état. Dans un moment de folie dictée par la passion et la culpabilité, je lui promis non seulement de tout mettre en œuvre pour la sauver de cette maladie qui la transformait peu à peu en pierre, mais aussi de faire renaitre son arbre. Quelles folies l’amour peut nous dicter !

J’y mis toute mon énergie, tout mon temps, tout mon art. Je perdis tous mes gros clients après quelques mois à ce régime. J’usai de l’Emprise, de la Geste et de la Cyse, contactai plusieurs puissants démons, mon père et même dame Lithane. Mais personne ne semblait vraiment pouvoir aider Brumine, ni même comprendre ma détermination à la sauver. Elle se mourait de jour en jour, et moi avec elle, en quelque sorte. Je m’en remis donc aux seuls conseils qui m’avaient fait espérer une solution : faire un pacte avec un prince démon pour trouver une solution.

Je ne me résolus à utiliser cette solution que lorsque je fus de retour de l’Enclave Boucanière, où Dame Lithane m’avait appelé à l’aide pour une grande entreprise nécessitant l’intervention de nombreux artistes de la Cyse. Quand je rentrai de ce long voyage sans remède, je trouvai Brumine au bord de la mort et radicalement changée. Dans sa grande souffrance, la lutine était devenue aigrie et torturée. Elle avait renié l’Empathie pour embrasser le Sévice, et son pauvre danseur n’en pouvait plus de souffrir. Elle avait le regard fiévreux et semblait prête à tout pour survivre. Je choisis donc de commettre l’irréparable à sa place, plutôt que la voir transformée irrémédiablement.

Je convoquai donc un prince-démon, qui m’apprit qu’il existait une solution à la situation de la lutine : le Roche-lierre, une plante née dans les abysses et dont les gaines étaient très rares. Ce végétal enchanté par la Ténèbre permettrait de faire renaitre l’essence de l’arbre de la lutine sur un arbre de pierre qui devrait être ensemencé à la fois par les dernières feuilles de l’arbre coupé et de graines du Roche-lierre.

Pendant plus d’un an, je sculptai donc un arbre gigantesque à l’intérieur de ma tour, qui montait jusqu’au sommet. Absorbé par la tâche, je perdis mes derniers clients et la plupart de mes amis, mais je poursuivis une correspondance avec plusieurs autres pratiquants de la Cyse et de l’Emprise. Il me fallait coûte que coûte dégotter quelques-unes de ces précieuses graines de Roche-Lierre.

Je désespérais d’en trouver lorsque Dame Lithane m’écrivit qu’elle avait enfin pu en dénicher. Elle me les fit parvenir par un de ses envoyés. Malheureusement, Brumine avait déjà presque succombé à la pierreuse. Elle conservait sa beauté fragile mais se fissurait ici et là comme une vieille statue. Quand je disposai les graines de Roche-lierre parmi les mèches éparses de ses cheveux, elle ne respirait déjà plus. Puis j’en fis de même sur ma propre tête, mon front collé au sien, car son énergie propre était déjà trop faible pour supporter la pousse du Roche-lierre. Puis j’ensemençai l’arbre de pierre à l’aide des graines restantes et des dernières feuilles desséchées de feu l’arbre de Brumine. Ce faisant, je créai entre nous trois un lien de vie mimant la Sève des lutins. Le Roche-lierre poussa parmi nos chevelures, puis envahit l’arbre de pierre. Bientôt, les branches que mon Elwyr et moi avions sculptées au prix de grands efforts se couvrirent de petites feuilles vertes translucides. C’est à ce jour ma plus belle réalisation, mon chef d’œuvre et ma malédiction.

Brumine sembla alors se réveiller de sa torpeur et elle fut pour un temps libérée de son mal. Mais elle n’en redevint pas pour autant celle qu’elle avait été. Elle avait radicalement changé. Le Roche-lierre l’avait libérée de sa paralysie et avait ainsi préservé son existence. Mais à quel prix… Elle semblait morte à l’intérieur et était devenue une sorte de momie à demi statufiée. Une sombre folie couvait au fond de ses grands yeux magnifiques, conséquence des longues années de souffrance. Elle ne retrouvait pas non plus dans son cœur éteint les sentiments qu’elle avait jadis ressentis pour moi. Elle ne se rappelait presque plus de sa vie passée, ni de moi, ni de ses passions. Elle avait survécu à la pierreuse, mais guère davantage. Le démon ne m’avait pas menti, mais il ne m’avait pas non plus dit ce qui m’attendait si je réussissais.

Après un an passé auprès d’elle dans cet état, enfermés tous deux dans ma tour, je crus que j’allais devenir fou. Elle ne parlait presque pas, si ce n’est pour m’accabler de reproches et refusait de sortir. N’y tenant plus, je mis fin à ses jours et quittai Lorgol et l’Urguemand, laissant derrière moi l’arbre de pierre et la dépouille statufiée de ma bien aimée. Je ne sais même pas si elle était vraiment morte, mais ce qui est sûr, c’est que j’y ai laissé beaucoup de moi-même. Depuis, la vie a un gout de cendre, je ris rarement, m’émerveille de moins en moins. La vie est triste.

 Son atelier dans les combles du chateau de Bellerocaille
 Brumine
 Son elwir tenant dans sa main le diablotin du minotaure
 Lambeau, le diablotin de Baldelierre

Jokmur
Minotaure forgeron
(Jéjé)

Ce minotaure de 2,5 m est non seulement un forgeron mais aussi un artiste car chacune des armes qu'il fabrique est une oeuvre d'art, ciselée, damasquinée. Il a une certaine obsession pour fabriquer l'arme parfaite. Il est assez riche pour avoir ue immense forge et plusieurs apprentis. Il aime se vétir de beaux atours. Il est plutôt soupe-au-lait, donc gare à celui qui vieindrai lui chercher des poux. Ceux qui s'y risque l'ont apprit à leur dépend, il sait aussi bien manier son marteau que sa grande hache.
Mais si grand et fort soit-il, si il viens à entrer dans un souterrain, ses vieilles peurs ressurgissent, ne supportant pas d'être enfermé dans un espace étroit, ayant peur d'être enterré vivant.

Scénario : le père des loups

Lors du premier scénario, une bande de petits démons ont causé quelques soucis au chateau, ils semblaient rechercher quelque chose ou quelqu'un. Finalement, Armand, Baldelierre et Jokmur ont découvert que l'objet de l'attention des démons était un jeune homme, Justinien, venant de Janrénie. Depuis des années, il vit seul, dehors, suivit de loin par une meute de loups, avec lesquels il semble capable de parler, notement un grand loup, l'alpha, Marche-sur-lune.
Les commanditaire des démons sont vite passé au plan B en attaquant le village pour récupérer Justinien. S'en est suivi un combat violent qui repoussa les mercenaires.
Les 3 héros ont décidé de reconduire Justinien chez lui, certains indices leur faisant penser que la mère de Justinien doit en savoir plus sur ses dons et surtout sur son père, qu'il n'a jamais connu. Le voyage leur prendra 2 semaines.



L5A - CR 1

Scénario 1, séssion 1

Lorsque le samouraï sortit de l'auberge, il sentit tout de suite le soleil plus clément de ce début de printemps, les odeurs du quartier et le bruit de la foule d'heimins qui s'activaient dans les rues d'Oka Mittsu Mura. Après une longue inspiration, il se mit en route vers son premier objectif, une maison de geisha ''la goutte de saké''. Son pas était rapide, se faufilant parmis les passants, ses longs cheveux noirs, noués derrière le crane volant au vent. Il n'avait pas revétu son kimono officiel, préférant être plus discret pour cette reconnaissance. Il aurai le temps de passer se changer avant d'aller demander audience au daimyo, mais pas avant de vérifier un indice.
''La goutte de saké'', ne payait pas de mine, mais semblait tout à fait accueillante. Biensur, c'est le soir que l'activité bat son plein, mais le samouraï décida tout de même de se présenter à l'okasan, afin de prendre un rendez-vous pour le soir. Il ne lui fallut que quelques questions innocentes, il eu confirmation que la geisha qu'il cherchait officiait bien ici.
Maintenant, il allait pouvoir passer à la suite. Après avoir revétu le kimono aux couleurs du clan du Phénix, laissant pendre à sa ceinture la tablette de bois précieux gravée du symbole des inquisiteurs Asako, un oeil ouvert, le parchemin scellé sur lequel figure l'acte d'accusation dans la main, le samouraï se dirigea vers le shiro d'Isawa Hayato.
Passer les gardes de l'entrée se fit rapidement, une fois son identité et son insigne dévoilés. En quelques instant, il se tint face aux daymio, entouré de quelques-un de ses samouraïs :
- Isawa Hayato-sama, avez-vous à votre service une jeune historienne du nom d'Asako Keiko ?
- Oui en éffet, pourquoi et qui êtes-vous ?
- Je suis Isawa Nobuyoshi, inquisiteur, et par ce document j'accuse Asako Keiko de pratiquer la maho et d'inciter des paysans à la révolte ! dit le samouraï en tendant le rouleau de parchemin au daymio. Son regard dur fixé sur le daymio en pleine lecture du document, Isawa Nobuyoshi se senti comme à chaque fois, sur de lui et prèt à débarrasser l'Empire d'une sombre menace. La vérité allait éclater, la menace finirait écraser sous le talon de l'inquisition. Isawa Nobuyoshi était prèt à fondre sur sa proie, se cachant sous les traits d'une ''innocente'' historienne dans un domaine reculé.


Alors que Shosuro Satoshi et Usagi Hanshiro attendaient le daymio afin de lui faire part des derniers évenements du domaine, c'est à dire pas grand chose, Isawa Natsu trainait encore dans la bibliothèque du chateau avec l'historienne Asako Keiko. Le daymio était en pleine entrevue avec Hida Gidayu et une samouraï-ko du clan du Crabe fraichement arrivée au village pour offrir ses connaissance en architecture et fortification.
C'est là que débarqua un homme au cheveux longs, barbe pointue, au kimono aux couleurs du clan du Phénix et arborant l'insigne des inquisiteurs, Isawa Nobuyoshi. Sans perdre de temps, il proclama être là pour arreter Asako Keiko qu'il soupçonne de pratiquer la magie du sang et de pousser des paysans à la révolte.
S'en suivra un entretien tendu à la fin duquel Satoshi, Natsu et Hanshiro sont chargé d'enqueter sur cette affaire et faire jaillir la vérité, le daymio réfutant les accusation contre sa protégée. Il fut aussi demandé à la jeune Crabe, Hida Akame de se joindre à eux, ne connaissant pas l'accusée, elle apporterai un regard exterieur.
Après un repas regroupant l'inquisiteur et les 4 samouraïs chargé de faire la lumière sur cette affaire, ils purent interroger la jeune accusée. Au cour de cet entretien, il semble qu'à deux reprises, Asako Keiko ne répondit que de façon ambigue et détournée à certaines questions semant le doute dans l'esprit de tous, sauf de Akame qui n'a pas l'habitude des subtilités de langages des courtisans.
Alors qu'ils étaient sur le point d'aller fouiller les appartements de Keiko, traversant une cour fermée près des cuisines, Nobuyoshi fut prit d'une quinte de toux, le clouant au sol, du sang coulant de sa bouche, ses yeux et ses oreilles. Pour Natsu et Hanshiro, c'est l'oeuvre de la magie maho, la magie du sang. Il semblerait que l'Inquisiteur ne soit pas si loin de la vérité pour qu'il soit prit pour cible à peine 2 heures après son arrivée. Natsu en appela au pouvoir des kamis pour sauver Nobuyoshi, celui-ci survécut mais plongea dans l'inconscience. Hanshiro parti à la recherche de quelques preuves d'un rituel de sang, pendant que Akame, s'inquietant de la sécurité du daymio, ne le lacha pas d'une semelle.
Bientôt, fut découvert le lieu où le rituel visant Nobuyoshi fut mené. Dans un buisson près des cuisines, ils retrouvèrent le cadavre éventré d'un chat. Selon Natsu, les kamis de l'air et de la terre ont disparus de la zone, preuve supplémentaires de l'usage de magie  maho. De son coté, Satoshi alla chez Asako Keiko afin de fouiller ses appartements. La jeune historienne et sa domestique le laissèrent procéder. Mais il ne trouva rien de bien interessant hormis des registres familiaux du domaine, et encore moins de détails pouvant attiser les soupçons qui pèsent sur elle.

Le cadavre de chat ayant été découvert près des cuisines, l'un des domestiques serait-il impliqué ? Maintenant que Nobuyoshi est allité et inconscient, que quelqu'un a usé de magie maho dans l'enceinte même du chateau, que la vie d'Asako Keiko est menacée, Satoshi, Hanshiro, Natsu et Akame vont devoir mener cette enquete le plus vite possible, en commençant par interroger l'ensemble des domestiques du chateau.

Star Wars - Edge of the empire - persos

Et c'est au tour des persos de ma table virtuelle de Star wars.
Le groupe est petit, dans un premier temps, ils n'étaient que deux, puis un troisième joueur nous a rejoint pour le troisième scénario.
Au cour du premier scénario ''Pluie d'étoiles'', Joseph s'est fait arraisonné par un star destroyer, après qu'il ai balancé dans l'espace une cargaison de fusil blaster destiné à Bargos le Hutt. De son coté, Tasha était à bord d'un vaisseau qui fuyait Onderon, vaisseau arraisonné lui aussi. Alors qu'ils étaient en prison, le star destroyer se fait attaqué et c'est dans la panique que les PJ s'enfuit en aidant un ingénieur qui partageait leur cellule. Ils réussissent à sortir du vaisseau impérial avant son explosion en volant l'un des vaisseaux arraisonnés, ''le vagabond''.
Au cour du second scénario, celui de l'écran ''Qui paie ses dettes s'enrichit'', ils sont envoyé par Bargos en mission pour éponger une partie des dettes de Joseph. Ils doivent aller sur une sation minière récuperer les gain de l'année passée. Mais ils arrivent en pleine révolte des droïdes. Ils réussissent tout juste à les empecher de faire exploser les champs de force protegeant la station des tempètes qui ravagent la surface de la planète.
Dans le scénario 3, après une conversation mouvementée avec Bargos et une fuite de Nar Shadaa, Joseph et Tasha se réfugient sur Ord Mantell. Là ils y rencontrent Naïgrahoo, un wookie. Ils sont tous embauché pour aller sur une planète éloignée, recuperer un scientifique et ses recherches.


Le Vagabond 


Joseph Tucker
Contrebandier
(Jéjé) 


Originaire de Corellia
Père : militaire à la FDC à la retraite
Mère : haut fonctionnaire à la retraite

Ancien membre de la Force de Défense Corellienne où il a gardé des contacts, il a préféré se retirer au moment de la signature du second traité Corellien.
Veut se mettre à son compte.
Alors qu'il était dans les forces de l'ordre, son jeune frère s'était lancé dans la contrebande, dans une période de guerre c'était une autre voie pour venir en aide aux autres en s'en mettant plein les poches au passage.
Mais il a perdu contact, son frère ne donnant plus de nouvelles. Ses contacts au sein de la FDC ne lui apprirent rien et sa liberté de mouvement étaient limité. Il se retira donc, racheta un petit vaisseau réquisitionné par la FDC et se servit d'un petit truand local a qui il avait eu affaire par le passé pour entamer sa reconversion. Reconversion qui devrait lui permettre de se lancer sur la trace de son frère.


Tasha
Twi-lek  négociant
(Belette)


Tasha viens d'une famille de marchand sur Ryloth. Elle a depuis toujours eu beaucoups de talents pour la négociation, comme son père, éminent marchand d'un des 5 clans les plus puissants. Sa mère est courtisane, aussi belle que douée pour le chant et la danse.
Tout allé bien jusqu'au jour où son père accepta pour sa fille la demande en mariage d'un chef de clan contre une promotion sociale. Tasha connaissant son futur mari, savait pertinement qu'elle finirait dans on palais comme trophée. Fini les voyages. Elle n'était pas d'accord. Elle prit ce qu'elle put emmener et s'enfuit, tout simplement. Depuis, elle fait un peu de négoce, aussi loin que possible de Ryloth, sachant que son père et surtout son ex-futur mari serait tout à fait capable d'envoyer des chasseurs de prime pour la lui ramener.

Naïgrahoo
wookie maraudeur
(Manu) 


Naïgrahoo est comme la plupart des wookies, un solitaire, loin de sa planète, toujours en fuite et épris de liberté. La vie ne lui a pas fait de cadeau, il ne possède pas grand chose, mais sais trés bien se débrouiller avec peu. Il offre souvent ses service comme éclaireur ou force de frappe. Il n'arrive pas a rester en place. De plus, il est recherché par l'Empire.

samedi 27 février 2016

Défis fantastiques - persos

Dans l'idée de se faire une petite campagne de jdr virtuel, on cherchait un système pas trop prise de tête, pour du medfan high fantasy à l'ancienne. Notre choix s'est porté sur Défis Fantastiques. Vu que je n'aime pas que tout repose sur la carac d'Habilité, j'ai modifié les carac. Il y a donc 4 carac : Physique, Esprit, Volonté et Social. Et ça marche bien, ça couvre toutes les situations. Pour le reste, les règles osnt les mêmes à 90%.

Mes joueurs ont voulu reprendre des persos qu'ils avaient joué lors d'un GN Défis Fantastiques. Why not. Voici donc le groupe de personnages assez étranges, qui, après une bonne mise en jambe avec la campagne ''le seigneur de l'hiver'' paru dans Casus Beli 1, 2 et 3 (bien que j'ai viré l'episode 2, inutlie à mon sens à l'histoire), va attaquer la campagne Anathazerin de BBE, et normalement pour Chroniques oubliées.


Le Saint de pierre 
l'un des derniers hommes de pierre, paladin de Throff, dieu de la terre
(Sandy)


Nybème
elfe de la forêt des ténèbres, un peu guerrier, un peu sorcier et éleveur d'araignées.
(dessin et perso de Tony http://nymiris.deviantart.com/)

Zoltan
Magicien
(Jéjé, dessin de moi)

Je mettrai ici leurs histo, quand je les aurai retrouvé.

L'appel de Cthulhu - Terreur sur l'Orient Express - les persos




Même si je masterise souvent, je passe PJ de temps à autre, la plupart du temps avec une bande de vieux briscards, Manu, Isa, Pierrick, Seb et Jéjé lors de nos parties du lundi soir. C'est un petit groupe de trentenaires/quarantenaires qui ont des heures de jeux au compteur. On aime tous le même style de jeu, plus de RP que de jet de dés, des règles light, une bonne ambiance.

Après les Masques de Nyarlathotep, j'ai commencé Terreur sur l'Orient Express, en tant que PJ. Je tenterai de mette ici un petit CR de nos parties.
Voici les persos de cette campagne.


Mlle Alienka Oulianoff (mon perso)
Médium

Mlle Alienka Oulianoff aka ''l'étrange Mlle Czarownik'', médium et ex-prestidigitatrice.

Née le 7 novembre 1892 (29 ans) à Varsovie

1,70 m, cheveux chatains, yeux verts

Père : Wladyslav Oulianoff (décédé en 1920, lors de la guerre polono-sovietique, lors de la bataille deVarsovie, perte civile)
Mère : Katarzina Radzko, domestique chez une famille riche de la banlieue de Varsovie.
Fère : Andrej Oulianoff, chef d'équipe dans une grande fonderie de Varsovie.

Elle a toujours eu son don, et a appris le tirage des cartes par sa tante. Mais dans le personnage de Mlle Czarownik, elle aurai eu un accident étant petite, durant lequel sa sœur jumelle et elle se serait noyé. Elle a survécu mais a approché le monde des morts durant quelques instants. Depuis, elle communique avec sa sœur qui est toujours près d'elle.

Dans un premier temps, elle fait quelques séances de spiritisme pour quelques voisins, puis pour le patron de sa mère. Le bouche à oreille fait qu'elle cotoye des gens de plus en plus aisés. Un prestidigitateur anglais, William Bradford, la rencontre en 1912 et lui propose de se produire avec lui, mais très vite elle se rend compte qu'elle n'est qu'un faire valoir et que sa prestation de médium servant de clou du spectacle ne la met pas du tout en valeur, le mérite en revenant qu'au magicien.

Quitte Varsovie en 1913 pour Londres en passant par Paris. Le duo se produit dans de petits cabaret puis de plus en plus important. Tout s'arrete en 1915, entre le manque d'interet grandissant et la guerre qui deviens le seul soucis des gens. La descente dans l'alcool de Bradford mis un point final à leur association : après avoir tenté de forcer Alienka qui s'est défendu, Bradford n'a pas insisté, a quitté le petit appartement qu'ils partageaint au nord de Londres, et a fini sa vie sur un quai de métro poignardé et détroussé.

Elle a encaissé le dernier chèque, hérité de tous le materiel de Bradford. Elle est resté à Londres durant la guerre, vivant des ses économies. Ses activités de spiritisme ont repris de plus belle, avec les nombreuses familles ayant perdu un père, un fils ou un frère sur le front.

Elle finit par s'acheter une petite maison en grande banlieue de Londres, y officiant et y entassant une collection d'objets plus ou moins étranges (fausse sirène dans du formol, animaux exotiques empaillés, pierres semi-précieuse, vases canope, corps momifié, etc...) ainsi que quelques livres occultes, domaine devenu sa marotte.

Elle due attendre la fin de la guerre pour revoir sa famille lors de quelques voyages à déstination de Varsovie.

En 1920, à la mort de son père, elle se trouvait à Londres, et elle y a vu Wladyslav, se tenant dans la pièce près de son lit, plusieurs blessures sanglantes au torse. Il lui parlait mais sans produire de son, puis tout disparu. Cette experience était bien au-delà de ce qu'elle vivait en temps ordinaire et ce fut le début d'une longue série et d'une augmentation de son don. Ce qui ne fut pas sans conséquences. Lorsque des morts se manifestent, son 6ème sens lui fait ressentir des choses, cela s'accompagne de vertiges, saignements de nez voir de migraines. De plus il lui arrive de se sentir observée, sans réussir à savoir par quoi. Elle recourt le plus souvent à son tarot qu'à la planche oui-ja, qu'elle utilise de temps à autre.

Depuis le décés de son père, elle n'est retournée qu'une fois à Varsovie, sentant un certain malaise en traversant des lieux chargés de mort, de souffrances.

Lord Jeremy Saint-Clair (Jéjé)
Dilettante écossais, éditeur



Clara Maxwell (Isa)
Infirmière, ex-infirmière militaire lors de la grande guerre

Quentin Mc Allister (Pierrick)
Fonctionnaire

Auguste Oppenheim (Seb)
Peintre et sculpteur allemand

L5A

OKA MITTSU MURA

Campagne de jdr virtuel

J'ai décidé il y a peu de temps de passer le cap du jdr virtuel afin, dans un premier temps de faire du L5A. Ce jeu est mon jeu maudit, chaque fois que j'ai lancé une table, ça n'a pas tenu, les joueurs n'étant pas trés attiré par l'univers asiatique et spécifique de ce jeu.
Mais sur le site jdr virtuel http://www.jdrvirtuel.com/index.php?sid=fb87b1720c599301dfe0fe837eebed4d j'ai trouvé deux joueurs motivés, pour rejoindre les deux que j'avais déjà sous la main. On fait ça avec rolisteam comme table de jeu et Sype pour l'audio et video.

Donc cette campagne a pu se lancer il y a 2 semaines. Elle prend place dans un village du clan du Phénix. Les PJ vont vivre des aventures liées au domaine d'Oka Mittsu Mura, le village des 3 collines, aux PNJ du village, peut-être un peu au-delà, mais pas de complot contre l'Empire à déjouer, ni de bataille contre des hordes d'onis. Je préfère des scénarios basés sur les personnages, l'ambiance, les relations entre PJ.

Voici donc un petit topo sur le village.

Oka Mittsu Mura, le village des 3 collines

Gros village des terres du clan du phénix, sur la route entre Michita Yasumi, la cité du repos confiant et Ukabu Mura, le village flottant. La cité est bâtie sur les dernieres collines avant les montagnes du nord-est du clan du Phénix, limitrophes au clan du Dragon. Le fief produit surtout du riz, mais aussi un important artisanat lié au bois, de nombreux artisan le travaillant pour toutes ses utilités sont installé ici. Il est aussi un point de passage obligatoire pour les caravanes transportant le bois depuis Isawa Mori, la grande foret à l'est du village. Les terres du domaine couvrent un rayon de 20 km autour de la cité, une quarantaine de fermes et hameaux. Le village tiens ce nom au fait d'être construit sur 3 collines adjacentes, l'une couverte par le château, une autre par le village lui-même et la dernière par le temple et son jardin. Un fleuve y coule, permettant un peu de trafique de barges de transports à faible tirant d'eau.
Les environs, principalement des collines un peu moins hautes, sont recouvertes de foret plus ou moins dense, giboyeuses et relativement épargnées par les brigands et autres ronins. On trouve en revanche de très nombreux sculpteur, fabricants de palanquins, ébénistes, qui profitent du passage de caravanes de bois ainsi que des nombreux bucherons du coin pour se fournir en éssence plus ou moins rares.
Un petit autel, sur la rivière, fut érigé en l'honneur du kami de cette rivière.
La population atteind près de 3000 habitants (dont la moitié à Oka Mittsu Mura), dont une cinquantaine de samouraïs de rang et statut différent. Les heimin sont répartit entre la cité, les fermes et de petits hameaux aux alentours. On compte aussi une centaine d'eta, vivant à l'extérieur des remparts de la ville. Il y a des représentants de presque tout les clans majeurs, à peine une poignée des clans mineurs, et aucuns représentants des famille impériales.

Enfin, la garde du daimyo compte 20 samouraïs ou ji-samouraïs (samouraï inférieur), la milice, dirigée par un magistrat se compose de 5 ji-samouraïs, 10 agents paysans et de 4 yorikis. Le temple des 333 marches abrite quand à lui 5 moines et 3 nonnes, accueille surtout des samouraïs effectuant leur inkyo.
Ce n'est donc pas un grand fief, mais il est plutôt prospère, calme et bien administré.

Who's who

Effectif par clans :
Crabe : 6
Dragon : 8
Grue : 6
Lièvre : 2
Lion : 5
Licorne : 6
Phénix : 16
Renard : 1
Scorpion : 3
Moines : 5
Nonnes : 3

Quelques personnages notables

Crabe :
- Kaiu Tomoe, 45 ans, veuve de Kaiu Kantaro, l'architecte qui gerait la rénovation des quais, des ponts et des fortifications. Kantaro est mort il y a quelques semaines lors d'une crue du fleuve. Des rumeures parlent d'une vague qui l'aurai fauché sur le quai.
- Kaiu Akame, 20 ans, bushi-ko de haute stature arrivée il y a à peine deux jours. PJ Puron-kun.
- Hida Gidayu, 42 ans, ami de Kantaro, tente de reprendre les rennes des chantiers.
- Yasuki Doko, 32 ans, marchand possédant plusieurs entrepots et deux navires fluviaux.
- Hiruma Aki, 26 ans, une éclaireuse dont personne ne sais ce qu'elle fait si loin de chez elle ni où elle traine, disparaissant durant des semaines entières.

Dragon :
- Mirumoto Jinzaki, 40 ans, courtisan, cousin de l'actuel daymio de la famille Mirumoto, Mirumoto Hitomi.
- Mirumoto Nishi, 17 ans, sa fille, courtisane accomplie, sans doute promise à l'un des deux fils du daymio.
- Mirumoto Kafu, 26 ans, le yojimbo de Jinzaki.

Grue :
- Kakita Reiko, 28 ans, joueur de Shamisen et cousin de Doji Mitsuki, la femme du daymio.
- Kakita Kagome, jeune duelliste, pieux et collectionneur de bonsaïs.

Lièvre :
- Usagi Shinji, 42 ans, hatamoto du daymio, l'un de ses plus vieux amis, bushi.
- Usagi Hanshiro, fils de Shinji, jeune bushi impétueux et yoriki du magistrat. PJ Aurélia.

Licorne :
- Ide Sakae, 58 ans, le plus riche marchand d'Oka Mittsu Mura.
- Otaku Izuko, 43 ans, ancienne vierge de bataille, possède la plupart des écuries et élève des chevaux.

Lion :
- Ikoma Daisuke, 21 ans, courtisan et archer, yoriki se destinant à devenir magistrat.

Phénix :
- Isawa Hayato, 51 ans, daymio, ancien bushi des légions du clan du phénix, juste, mais parfois sévère, administre le domaine de main de fer lorsque les circonstances l'éxigent.
- Isawa Oda, 29 ans, fils ainé du daimyo ; bushi des légions impériales, porte une balafre sur le coté droit du visage.
- Isawa Kenshiro, 27 ans, jeune courtisan partageant son temps entre la cour de son père et celle de la capitale.
- Isawa Tsukiko, 17 ans, jeune shugenja et fille cadette du daymio.
- Asako Keiko, 24 ans, jeune historienne, tient les registres du fief.
- Asako Kitaï, 34 ans, courtisan devenu magistrat, gros, joviale. Moins efficace que son prédécesseur selon les rumeures.
- Shiba Kobe, mort par seppuku il y a quelques années, réputation d'être incorruptible et très sévère. Son seppukku servit à expier la faute de son fils ainé Shiba Kenji.
- Shiba Kenji, fils ainé de Kobe, tué par la garde du daymio alors que dans accés de colère il balafrait le visage de Isawa Oda. Personne ne sais ce qui a déclenché cette colère.
- Bayushi Shimaru, 20 ans, fils cadet de Kobe, disparu le même jour que la mort de son frère ainé, réputation d'être un joli coeur.
- Shiba Kyumeï, samouraï-ko, 29 ans, capitaine de la garde du château, très (trop) strict dans sa fonction.
- Isawa Natsu, jeune shugenja, discret et rat de bibliothèque, souvent en compagnie de Kitsune Sakyo. On parle de fiançailles possibles avec Isawa Tsukiko. PJ Jéjé.
- Isawa Ginshiro, 42 ans, protecteur d'une grande caravane reliant les terres du clan et la capitale, ainsi que les îles du clan de la Mante.

Renard :
- Kitsune Sakyo, 39 ans, femme du hatamoto, shugenja et conseillière spirituelle du daymio.

Scorpion :
- Shosuro Kumiko, 38 ans, grande connaissance en médecine et herboristerie.
- Bayushi Daisuke, 32 ans, son yojimbo.
- Shosuro Satoshi, courtisan fraichement nommé yoriki du magistrat, toujours accompagné de son fidele molosse. PJ Selvagor.

Moines et nonnes :
- Kyu, 48 ans, anciennement Bayushi Kyu et femme de Shiba Kobe, l'ancien magistrat, mère de Shiba Kenji et Bayushi Shimaru.
- Shiku, 80 ans, aveugle.
- Koe, jeune moinillon de 12 ans.
- Hanzo, 59 ans, puit de sagesse en ce qui concerne l'histoire de la région.

Le domaine, Oka Mittsu Mura entouré de plusieurs villages sans nom.

Le village

Les PJ

Je m’appelle Isawa Natsu, je suis né dans la plus grande famille du clan du Phénix, formant les meilleurs shugenjas de Rokugan. Mon père, Isawa Kenzaemon est capitaine des légions du clan et ma mère, Asako Otsu officie comme diplomate à Otosan Uchi, la capitale. Mon affinité avec les éléments fut découverte assez tôt. J'ai suivi les enseignements faisant de moi un shugenja, avec une prédominance pour les kamis de l'air.
Une fois mon gempukku passé, je me suis lancé à la recherche d'une autre shugenja, Isawa Misako, qui avait grandi et étudié avec moi, mais qui disparu dans des circonstance qui me sont trop pénible à raconter ici. Mais mes recherches sont infructueuse depuis maintenant 3 ans. Sur insistance de mon père, j'ai rejoins le domaine de Isawa Hayato, daymio d'Oka Mittsu Mura. A moi d'y faire mes preuves. De plus, mon père a évoqué un mariage avec Isawa Tsukiko, la fille d'Hayato.
Je loge maintenant dans une petite maison au pied de la colline du chateau, avec Kenjiro, mon domestique et mon petit singe apprivoisé. Je suis un rat de bibliothèque, étudiant la magie auprès de Kitsune Sakyo, ou fouinant dans les rouleaux de la bibliothèque de Asako Keiko. Il m'arrive aussi d'apporter mon aide au magistrat lorsque le cas l'éxige.



Kaiu Akame une jeune fille issue des terres du crabe parfait mélange entre la force et l'endurance des Hida et l'intellect et l'ingéniosité des Kaiu. En effet elle descend d'une noble ligné de Hida et se trouve même être une descendante direct de Hida Osano-Wo fortune du tonnerre et du feu ! C'est de par son père qu'elle porte le nom de la prestigieuse famille Kaiu, bâtisseur de la muraille qui défend Rokugan contre les créatures malveillante de l'outremonde. Elle a hérité cette passion de son père et ne peut s'empêcher de rester admirative devant les merveilles crées par sa famille. Son but et de devenir la meilleure des ingénieurs et de faire profiter de son savoir aux autres. Du moins c'était son rêve. Elle fut envoyée dans un dojo Hida pour faire d'elle une bushi-ko. C'était une condition au mariage, à la demande de la famille Hida d'où est issue sa mère. Comme de très nombreux membres du Crabe, elle a passé son gempukku dans les territoires désolés au-delà du grand mur… Ce dernier se déroula en période hivernale, et après plusieurs jours elle revient blessé et épuisée mais belle et bien vivante en compagnie d'autres bushi Hida. Tous ensemble ils formaient un groupe soudé et solidaire qui avait triomphé des dangers de la terre sombre et corrompu. Comme le veut la tradition elle ramena pour ça par la tête d'un ogre (un tsuno, même un bushi rang 3 aurai un peu de mal à dézinguer un Tsuno, un ogre est plus à sa portée) qu'elle avait vaincu seule.

Elle fut affectée au mur, à la protection des équipes chargées de réparer les fortifications exterieures du mur. Elle put approfondir les connaissances en architecture que son père lui avait prodiguée en parallèle à son entrainement de bushi. Elle y rencontra Kaiu Kantaro, un architecte, et Hida Gidayu, qui fut son instructeur au dojo, sur les engins de siège et leurs tactiques. Ils remarquèrent son interet pour l'architecture et de l'ingénierie. Durant 3 ans, elle fit partie de leur équipe, autant sur le mur que sur les terres du Crabe et même au-delà.
Il y a un an, Kantaro fut envoyé ailleurs, à Oka Mittsu Mura sur les terres Phénix, avec son meilleur ami Hida Gidayu. Ils avaient été conviés par le Daimyo Isawa Hayato afin d'entreprendre de larges travaux de rénovation en tout genre. Akame repris ses fonctions de bushi près de Sunda Mizu Mura, au sein d'une patrouille. Le mois dernier, la jeune bushi fut triste d'entendre les nouvelles concernant la mort de son ancien maître… mais après l'avoir pleuré durant une journée de deuil elle reprit courage et décida qu'il était de son devoir en envers Kaiu Kantaro de continuer son œuvre et de faire honneur à son maître mais aussi à sa famille et à son clan. Elle fut ravie de recevoir en même temps que les nouvelles de la mort de Kantaro une lettre rédigée par Hida Gidayu qui fit appel à elle pour venir renforcer son équipe. Elle y vit là une occasion rêvée de pouvoir accomplir son rêve. Elle prit le temps de dire au revoir à ses proches et à ses amis, et dès le lendemain elle prit la route vers Oka Mittsu Mura en voyageant avec une caravane qui allait dans cette direction. Elle doit aller voir Gidayu, qui l'emenera se présenter au Daimyo dans les jours suivant son arrivée.

Physiquement c'est une Hida plutôt grande 1,82 pour 70kg, son corps bien que svelte et robuste et a était forger pour endurer les pires blessures. Elle a donc des abdominaux légèrement dessiner au niveau de son ventre et possède une musculature puissante qui reste néanmoins gracieuse. Elle n'a certes pas la force d'un berserker Hida mais cela est compensé par une agilité féline et un intellect poussé. Elle n'a aucun mal à porter une armure lourde, ainsi qu'un Tetsubo dont elle a appris le maniement, bien plus que le katana. Elle possède également une longue chevelure noir et des yeux d'un bleu cristallin très pure, certes y voit une bénédiction des fortunes, d'autres une malédiction …

Concernant son caractère elle et très apprécié aussi bien pour son sens de l'humour, et sa voix mélodieuse que pour c'est prouesse martial. Dès qu'elle coucha au sol un des bushi c'est le pauvre qui finira raillé par ses confrères qui ne perdront pas une occasion de lui rappelle qu'il vient de se faire rétamé par une fille et que c'est la honte ! Tout en rigolant ^^ Akame et très calculatrice et observatrice, et dès qu'elle voit un bâtiment elle ne peut s'empêcher de l'examiner dans tous les recoins, il en va de même quand elle entre dans une maison, ou un shiro pour la première fois. Si comme tous les crabes l'étiquette lui importe peu, elle essaye d'y faire attention, même si parfois cela semble mal habile. La réputation des Crabes et le caractère aimable de la jeune bushi-ko font qu'en général l'hôte de la maison ne dit pas grand-chose, certains sont admiratif devant les efforts de la jeune fille. Il faut dire que ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre un bushi du clan du crabe qui essaye de faire attention à ses manières. 



Shosuro Satoshi est un jeune élève de l'école de courtisan Bayushi. Avec son visage juvénile et un air aimable et affable, Satoshi arriverait presque faire oublier qu'il appartient au clan des secrets. Quand la situation l'intéresse, son regard sait cependant se faire sombre et perçant et il affichera alors son plus beau sourire en coin. Ses masques tendent à rehausser son allure, ses kimonos élégants sont toujours de bonnes qualités et bien voyant. Sa nature curieuse le pousse à s'intéresser aux autres et il a toujours la manie de répondre à une question par une autre question. Il est toujours accompagné de Chugo, son fidèle et imposant chien de guerre Moto. C'est un précieux cadeau qu'il tient de son ami marchand, Ide Sakae.

Il ne semble que peu préoccupé par les affaires des petites gens. S'il ne parlera jamais de sa famille, il ne tarira pas d'éloge sur son sensei, le vénérable Bayushi Osamu. Ce dernier compte énormément à ses yeux et il espère bien le rendre fier un jour. Bayushi Osamu est le frère aîné de Bayushi Kyu, la femme de l'ancien magistrat Shiba Kobe. C'est donc assez naturellement que Satoshi ait été envoyé afin de servir de yoriki au nouveau magistrat du village des 3 collines. C'est sa première mission hors des terres de son clan et Satoshi espère bien qu'elle sera riche en renseignement.



Usagi Hanshiro est un bushi d'une vingtaine d'années, de stature moyenne, rien qui le différencie de centaines d'autres samouraïs. Les cheveux noirs, les yeux verts. Son appartenance à un clan mineur fait qu'il a tendance à rester discret face à ses frères des grands clans. Cela pourrait s'arreter là, mais Hanshiro n'est pas juste un simple bushi, perdu dans un petit village du clan du Phénix : il est aussi le fils du hatamoto du daymio. Etre issue d'un clan mineur et assurer de si hautes fonctions font qu'il faut se battre deux fois plus chaque jours pour montrer sa légitimité à ce poste. C'est ce que fait son père, ce que fait sa mère, et ce qu'Hanshiro fait … à sa manière.

L'école de bushi du Lièvre est réputée pour sa technique pour le moins acrobatique, et dans ce domaines, Hanshiro brille. Toujours en mouvement, sautillant, plaçant un coup de katana selon un angle invraisemblable. Pour lui, il n'y a pas de retenue à avoir, même si il y a un risque à prendre, ça vaux le coup de tenter. Et ça le perdra sans doute un jour, il le sait.

Peu après son gempukku, il a rejoint son père, Usagi Shinji et sa mère Kitsune Sakyo au village des 3 collines. Son père y conseil, soutien et aide le daymio, quant à sa mère, elle est une conseillère plus officieuse et spirituelle, étant capable de communiquer avec les kamis. Les liens de forte amitié unissant Usagi Shinji et le daimyo, font que pour Hanshiro, celui-ci est une comme un oncle.

Hanshiro est à l'aise avec les heimin, ce qui n'a pas échappé au magistrat du village qui en a fait l'un de ses yorikis, poste qu'il occupe depuis 2 ans.

PS : les plans et dessins sont de moi.
Pourquoi je fais ce blog ? Pour qui ?

Je le fais juste pour mes PJ et moi, pour y mettre mes persos de jdr, ceux des PJ de mes campagnes, des infos sur les parties, etc...
J'ail l'intention d'y mettre du matos de jeu, des images, des dessins, de la musique, un peu tout ce que je peux utiliser lors de mes parties.

Voilà voilà.