8 janvier1923 – 11
janvier 1923
Chacun règle ses
préparatifs pour partir vers la France. Grace à mes contacts, j'ai
le nom d'un occultiste à Paris, Antonin Pinchelle, bouquiniste à
Saint-Germain-des-près. Je profite aussi de ce temps pour passer du
temps avec Rupert. Je ne lui ai pas tout raconté en détail, mais il
sais que je vais là-bas à la recherche d'un objet occulte. Je suis
sur qu'il aurai adoré me suivre, mais je préfère le savoir ici et
pas en vue des Frères de la chaire ou des Von Kemper, qui que soient
les agresseurs de Smith.
La journée du 11
commence par un petit trajet en train jusque Douvres, la traversée
de la Ma,che en ferry pour Calais et enfin une arrivée tardive, à
près de 00h à Paris, gare du nord. Nous prenons un petit encas et
rejoignons notre hotel près du Louvres.
12 janvier 1923
Les choses sérieuses
commencent. Nous formons deux groupes, Jérémy, Randolph et Auguste
aux Archives Nationales de la BNF, Quentin, Clara et moi allons chez
Antonin Pinchelle.
A la BNF, l'aide d'un
étudiant parlant anglais est nécéssaire, et il se nomme Rémy
Vanguème. Grace à ses connaissances des arcanes de la bibliothèque,
quelques heures plus tard émergent les premières infos sur le comte
Fénalik : un scandale à la cour, un comte d'origine étrangère
et une éxecution sans jugement.
De mon coté, Antonin est
d'accord pour lancer des recherches sur le simulacre, les parchemins
et le comte Fenalik. Nous convenons d'un rendez-vous pour le 13 au
soir.
Nous finissons la journée
en prenant un eu de bon temps dans un restaurant gastronomique et une
soirée dans un cabaret de Montmartre.
13 janvier 1923
Pendant qu'Auguste cuve
et se remet de sa soirée, Jéremy passe une partie de la journée à
la BNF, Randolph part se promener seul (on ne peut pas le surveiller
sans arret comme un gosse, aucun de nous ne le supporte plus de 10
minutes). Quentin, Clara et moi allons visiter le Louvres, pour
patienter jusqu'au rendez-vous du soir.
Rémy, notre aide
archiviste embauché pour plusieurs jours, a une piste sur le comte,
un extrait du journal intime de Mme de Brienne. Le comte Fenalicheck
aurai été arreté par les hommes du roi et emprisonné. Les
archives de la bibliothèque de l'Arsenal renferment peut-être les
rapports de l'arrestation ?
De mon coté, chez le
bouquiniste, Antonin a trouvé un document, un extrait de journal du
Dr Lucien Rigueaux, présent lors de l'arrestation du comte en juin
1789. L'asile de Charenton mentionné existe encore et accueille
encore des fous de nos jours. Nous irons y jeter un œil.
Concernant le simulacre,
l'information est plus étrange : un manuscrit, ''le parchemin
du diable'', d'un moine cistercien, écrit en 1260 refit surface en
1505 à Venise. Il décrirai ''l'utilisation'' d'une statue.
Plusieurs copies existeraient, mais l'originale serait conservée à
Santa-Maria-Celeste de Venise.
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