mardi 12 avril 2016

L'appel de Cthulhu - Terreur sur l'Orient Express - CR 7

8 janvier1923 – 11 janvier 1923

Chacun règle ses préparatifs pour partir vers la France. Grace à mes contacts, j'ai le nom d'un occultiste à Paris, Antonin Pinchelle, bouquiniste à Saint-Germain-des-près. Je profite aussi de ce temps pour passer du temps avec Rupert. Je ne lui ai pas tout raconté en détail, mais il sais que je vais là-bas à la recherche d'un objet occulte. Je suis sur qu'il aurai adoré me suivre, mais je préfère le savoir ici et pas en vue des Frères de la chaire ou des Von Kemper, qui que soient les agresseurs de Smith.

La journée du 11 commence par un petit trajet en train jusque Douvres, la traversée de la Ma,che en ferry pour Calais et enfin une arrivée tardive, à près de 00h à Paris, gare du nord. Nous prenons un petit encas et rejoignons notre hotel près du Louvres.

12 janvier 1923

Les choses sérieuses commencent. Nous formons deux groupes, Jérémy, Randolph et Auguste aux Archives Nationales de la BNF, Quentin, Clara et moi allons chez Antonin Pinchelle.

A la BNF, l'aide d'un étudiant parlant anglais est nécéssaire, et il se nomme Rémy Vanguème. Grace à ses connaissances des arcanes de la bibliothèque, quelques heures plus tard émergent les premières infos sur le comte Fénalik : un scandale à la cour, un comte d'origine étrangère et une éxecution sans jugement.

De mon coté, Antonin est d'accord pour lancer des recherches sur le simulacre, les parchemins et le comte Fenalik. Nous convenons d'un rendez-vous pour le 13 au soir.

Nous finissons la journée en prenant un eu de bon temps dans un restaurant gastronomique et une soirée dans un cabaret de Montmartre.

13 janvier 1923

Pendant qu'Auguste cuve et se remet de sa soirée, Jéremy passe une partie de la journée à la BNF, Randolph part se promener seul (on ne peut pas le surveiller sans arret comme un gosse, aucun de nous ne le supporte plus de 10 minutes). Quentin, Clara et moi allons visiter le Louvres, pour patienter jusqu'au rendez-vous du soir.

Rémy, notre aide archiviste embauché pour plusieurs jours, a une piste sur le comte, un extrait du journal intime de Mme de Brienne. Le comte Fenalicheck aurai été arreté par les hommes du roi et emprisonné. Les archives de la bibliothèque de l'Arsenal renferment peut-être les rapports de l'arrestation ?

De mon coté, chez le bouquiniste, Antonin a trouvé un document, un extrait de journal du Dr Lucien Rigueaux, présent lors de l'arrestation du comte en juin 1789. L'asile de Charenton mentionné existe encore et accueille encore des fous de nos jours. Nous irons y jeter un œil.
Concernant le simulacre, l'information est plus étrange : un manuscrit, ''le parchemin du diable'', d'un moine cistercien, écrit en 1260 refit surface en 1505 à Venise. Il décrirai ''l'utilisation'' d'une statue. Plusieurs copies existeraient, mais l'originale serait conservée à Santa-Maria-Celeste de Venise.

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